Les nouvelles mobilités au cœur des projets immobiliers neufs
On le constate de plus en plus : la voiture n’est plus la bienvenue dans le centre de la plupart des métropoles et villes moyennes françaises. En tant que promoteur engagé, il est donc important de proposer des adresses connectées et accessibles. Ainsi, les programmes neufs se concentrent aux alentours des gares SNCF, gares routières ou autres stations de métro. Un phénomène qui a le double avantage de diminuer l’usage de véhicules individuels tout en redonnant du pouvoir d’achat aux ménages. Explications.
L’exemple du Grand Paris express
Soixante-huit. C’est le nombre de nouvelles stations qui vont permettre aux Franciliens de circuler de banlieue à banlieue via quatre nouvelles lignes de métro, qui feront le tour de la capitale. En plus de la prolongation en cours ou déjà achevée de certaines existantes (comme les lignes 11 ou 14), 200 km de lignes d’un métro nouvelle génération vont progressivement mailler l’ensemble de l’Île-de-France.
Si vous êtes curieux, une exposition y est d’ailleurs consacrée jusqu’au 2 juin 2024 à la Cité de l’architecture à Paris : vous y découvrirez l’histoire de ce mode de transport plus que centenaire et les transformations urbaines qui lui sont liées.
En même temps que ces chantiers avancent, les programmes immobiliers neufs sortent de terre à proximité : 180 projets urbains y sont engagés ou prévus entre 2024 et 2025 comme notre projet La Serre à Issy-les-Moulineaux. Malgré la hausse des taux et les retards dans les travaux du « super métro », ces adresses restent attractives. Pourquoi cet engouement ? Parce que cette proximité avec ces nouvelles lignes et les nouveaux modes de transports partagés va réduire les temps de trajet domicile-bureau, et rendre la voiture obsolète. Du moins la voiture à usage individuel : plus de la moitié des Parisiens n’ont pas de véhicule.
L’avenir de la mobilité douce
À Paris comme dans les grandes métropoles, le développement des transports collectifs ne cesse de s’accélérer. Métros, tramways, bus roulant au GPL, covoiturage. Mais aussi celui des nouveaux modes de circulation urbaine partagée : voitures, scooters, vélos et trottinettes électriques en libre-service (sauf dans la capitale pour ces dernières où elles ont été interdites), et vélos classiques. Les pistes cyclables sont devenues la norme et les Français se ruent désormais dans les magasins spécialisés pour acheter le deux-roues à pédales qui leur permettra d’aller travailler tout en faisant de l’exercice. De plus en plus de gares sont équipées à cet effet d’espaces sécurisés pour les garer moyennant un abonnement.
Tous ces programmes immobiliers sont ainsi un moteur pour la mobilité douce et beaucoup n’ont plus de parkings souterrains. Mais que dire de la voiture, entre le remboursement des mensualités, l’assurance, l’essence, les contrôles techniques, la vignette Crit’Air… Elle coûterait en moyenne plus de 4 700 euros par an, par véhicule et par foyer. Ce sans compter les éventuels problèmes mécaniques, l’abonnement à des parkings privés ou le prix du stationnement sur la voie publique. S’en passer peut permettre d’économiser et d’investir dans un bel appartement moderne à quelques pas d’un moyen de transport vertueux. D’autant que de nombreuses aides existent pour l’achat d’un bien neuf : prêt à taux zéro, prime accession, prêt Action Logement, prêt conventionné, prêt d’accession sociale…
Des résidences adaptées aux nouvelles mobilités
Pour faciliter la vie quotidienne des habitants de ses résidences, OGIC propose dans l’ensemble de ses programmes des solutions adaptées pour : stocker son vélo, utiliser un vélo électrique, partager un véhicule ou recharger sa voiture électrique. Par exemple, 4 stations de voitures électriques en libre-service ont été installées sur l’avenue du Prado, à proximité de deux de nos résidences neuves à Marseille, en partenariat avec une entreprise locale. Pour aller encore plus loin, chaque habitant s’est vu offrir des crédits d’utilisation pour tester ce service.
